suis en off quelques jours histoire de tester cette petite merveille :
A la semaine prochaine !
We have just released a new publication - 'Preston Bus Station'.
Over a weekend in August we set up a project space in a disused shop in the bus station and produced a photographic document of arguably the most iconic building in Preston and the people that use it. Featuring photography by Jamie Hawkesworth, Adam Murray and Robert Parkinson, and an essay by Aidan Turner-Bishop, the publication is 12 page, tabloid newspaper size and published in a limited edition of 500.
It is available to buy for £4 + P&P from our blog - www.pppbooks.blogspot.com
This is a high-impact visual presentation of the most interesting fanzines ever produced. Ephemeral and irreplaceable, many have been lost to all but a few passionate collectors.
Fanzines have been one of the liveliest forms of self-expression for over 70 years. Now a new generation of graphic designers, illustrators, artists and writers combines self-expression with a rediscovery of the handmade, crafted object.
Their subject matter is as varied as the passions of their creators, ranging across music, comics, typography, animal rights, politics, alternative lifestyles, clip art, thrift shopping, beer drinking …
Produced in small quantities, fanzines were the original medium of super-niche interest groups and the cultural underground. Many of the most exciting zines have been made with very basic tools: scissors and glue, a photocopier, staples or string, yet their collaged photos and hand-drawn type and illustrations explode across the pages.
From the earliest examples created by sci-fi fans in the 1930s, now incredibly rare, the book takes us through the decades. Superhero comics inspired a flush of zines in the 1950s and ’60s. In the 1970s, the DIY aesthetic of punk was forged in fanzines such as Sniffin’ Glue and Search and Destroy, while the ’80s saw political protest zines as well as rave and street style. The Riot Grrrl movement of the ’90s gave voice to a defiant new generation of feminists, while the arrival of the internet saw many fanzines make the transition to online.
Obscure or prescient, subversive or downright weird, fanzines have an energy and style that shows grassroots social and cultural movements at their most explosively creative moment.
Teal Triggs, an avid collector of fanzines, is Professor of Graphic Design and Co-Director of the research unit for Information Environments at the University of the Arts London. Her other publications include The Typographic Experiment: Radical Innovation in Contemporary Type Design, Below Critical Radar: Fanzines and Alternative Comics From 1976 to Now and Communicating Design: Essays in Visual Communication.
Le travail d’Asako Narahashi est internationalement reconnu depuis la parution de sa monographie half awake and half asleep in the water. Les photographies de cette série ont été réalisées depuis l’année 2000 le long des côtes japonaises et proposent de revisiter le paysage japonais de manière inhabituelle. Immergée pour moitié dans l’eau ou en nageant, Asako Narahashi a photographié les côtes japonaises ou les rives de lacs, leurs stations balnéaires, leurs villes et leurs implantations industrielles. Un lien surprenant s’établit entre l’eau et la terre depuis la position du photographe.
« Les images sont convaincantes non seulement par leur point de vue insolite, mais aussi par leur ambivalence et leur poésie originales. Fascination et appréhension, fluidité et dureté – l’eau qui nous encercle garde dans les photographies de Narahashi une part de mystère, quelque chose d’inexplicable. Par ailleurs, la terre visible à distance nous rappelle à une sécurité familière. » (Anna Gripp)
Cette sensation d’incertitude et d’ambivalence constitue une grande part du travail de Narahashi qui laisse une part du processus de création au hasard. « Je perd souvent mon sens de l’orientation lorsque je suis dans la mer, » dit Narahashi. « Dans cet environnement, il n’est pas facile de prendre les photographies que je veux. Je n’ai pas d’images préconçues dans mon esprit avant de commencer. Je suis philosophe sur ce qui peut se passer, j’appuie simplement sur l’obturateur, le plus naturellement posssible. »
L’exposition présentera des images de la série “half awake and and half asleep in water”, des photographies prises en dehors du Japon ainsi que la série en noir et blanc “Dawn in Spring”.
Julien Kedryna |
Jean-Philippe Bretin |
Le concept du projet d'édition est de concevoir 2 pages de bandes dessinée à partir d'une même planche (créer une nouvelle histoire en changeant simplement l'ordre des cases) qui, de plus doit être muette et en noir et blanc et se composer de 20 cases.
20 auteurs ont participé au projet sur invitation de Cédric Manche : Pascal Matthey, Cédric Manche, Sacha Goerg, Laurent Dandoy, Joseph Falzon, Florent Grouazel, Juhyun Choi, Claude Cadi, Matt Broersma, Benoît Guillaume, Benjamin Chaumaz, Gaspard Ryelandt, Max de Radiguès, Christophe Poot, Claude Desmedt, Carl Roosens, P.E.E.P.S, Tony Papin, Andréas Kündig et Pierre Maurel.
Une exposition et une rencontre/dédicace a été organisée avec les auteurs à Bruxelles en juin 2007 à l'occasion de la publication de l'ouvrage.
La planche se compose donc de 20 cases dont l'ordre ne correspond à aucune des histoires finales (l'ordre a été changé à partir des scans).
Format : 24 x 32 cm. Les dessins sont réalisés au feutre fin Rotring, les contours des cases sont laissés au crayon.
L'un de ces dessins a également servi de visuel pour l'exposition L'Aventure de Tony Papin dans le cadre du festival Périscopage en 2009.
L'acquéreur de la planche recevra également un exemplaire de l'ouvrage (désormais indisponible dans le commerce) ainsi qu'un exemplaire du flyer de l'exposition l'Aventure.
> Mise à prix : 1 euro
> Fin des enchères jeudi 21 octobre 2010 à 22:24
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Sleeperhold is a publication platform.
Sleeperhold will have 10 numbers,
so Sleeperhold will die. Every number is an experiment
in approach / collaboration / distribution / media.
There is no recurring theme, there is no recurring
format, there is no recurring audience.
Célèbre pour ses reportages sur des lieux sensibles, pour les nombreux livres où il tisse étroitement texte et image, pour les films où il s’attache au quotidien d’une société en pleine évolution, Raymond Depardon est décidément un auteur sans limites. Cinéaste autant que photographe, il s’interroge toujours avec acuité sur les liens entre l’image et l’éthique.
Il a consacré maintes fois des reportages au territoire français, mais il a voulu concrétiser une idée folle qui le travaillait depuis longtemps : photographier seul à la chambre 20x25 le territoire français, ses régions, ses pays.
Nomade dans l’âme, il se fixe alors à lui-même la mission qui, depuis 2004, le mènera sur les routes au gré des saisons et de la lumière afin de montrer à égalité les régions que chacun rêve de visiter ou celles qui se dérobent à tout romantisme.
Il montre les conséquences de l’explosion des villes françaises durant la seconde moitié du XXe siècle qui a créé des usines à vendre en périphérie des villes entourées d’un océan de parkings, des zones périurbaines qui engloutissent les petites villes et les villages, la surexploitation immobilière du littoral et de la haute montagne…
« J’ai visité des lieux très différents, où parfois l’histoire n’a rien de commun d’un “pays” à un autre. Cette distance que je me suis imposée, techniquement et formellement, m’a permis de passer au-dessus des spécificités régionalistes et d’essayer de dégager une unité : celle de notre histoire quotidienne commune. »
Au noir et blanc contrasté, à la profondeur de champ vibrante d’humanisme de ses œuvres antérieures, il préfère ici la frontalité à la chambre, la couleur, la lumière unique, neutre, délicate et sensible. Les humains s’éclipsent parfois, mais il photographie en premier le paysage et poursuit sa recherche : « observer les traces de la présence de l’homme qui par son intervention au fur et à mesure de l’histoire a modifié le territoire. »
L’exposition présente dans une immense salle, une installation de trente six tirages argentiques couleurs lumineux, de très grand format. En orfèvre de l’image, Raymond Depardon les a façonnés et ajustés pendant quatre ans d’après les meilleurs “scan” numériques possibles à ce jour.
Le public pourra dans un second temps découvrir ses influences : il rendra hommage à Walker Evans et Paul Strand, il pourra lire ses essais, ses travaux préparatoires, suivre sa trajectoire, accéder aux arcanes de la réalisation de La France de Raymond Depardon
Exposition réalisée avec le soutien de la Mutuelle des Architectes Français assurances et Champagne Louis Roederer.
Le projet La France de Raymond Depardon a été réalisé avec le soutien de HSBC France, partenaire fondateur, de la Mutuelle des Architectes Français assurances, du Centre national des arts plastiques et avec la participation de Magnum Photos et de Palmeraie et désert.